Franchise internationale : bien communiquer avec la maison-mère

Lorsque l’on ouvre une franchise issue d’un grand (ou non) groupe international, il est important de bien soigner sa communication pour des relations saines et enrichissantes avec la maison-mère. Nos conseils.

Respecter les devoirs du franchisé pour une relation cordiale

Tout d’abord, pour des relations cordiales avec la maison-mère, il est important que le franchisé respecte les devoirs dont il est investi.

Les points les plus importants concernent en premier lieu l’image de marque du réseau de franchises. En effet, un franchisé doit respecter la maison-mère et ne doit jamais porter atteinte à la marque, par exemple en ne respectant pas les consignes d’aménagement des espaces professionnels. Il faut également maîtriser sa communication à l’externe, car un franchisé ne doit pas porter atteinte à l’honneur et à l’honorabilité du franchiseur, par exemple en remettant en cause son professionnalisme.

D’autres points très importants sont de bien payer ses redevances et de respecter le concept de la franchise à la lettre. Le but d’un franchisé est en effet de récupérer mot pour mot et technique pour technique le savoir-faire de la maison-mère (le franchiseur). Pour cela, il est du devoir du franchisé de participer à la vie du réseau en se rendant aux réunions régionales et aux conventions nationales, parfois dans un autre pays.

Maîtriser sa communication avec la maison-mère

Rapports d’activités, réunions professionnelles, échanges de mails… toute communication du franchisé à la maison-mère doit être réfléchie pour éviter les erreurs de traduction.

En effet, pour une bonne communication il est important de proposer des contenus clairs dans la langue maternelle de la maison-mère (bien souvent l’anglais). Par exemple, si vous souhaitez envoyer une vidéo de présentation de votre nouvelle structure, passez par des services de transcription qui réalisera pour vous des sous-titres car cela est souvent plus compréhensible qu’un accent français à couper au couteau. De plus, si vous ne l’êtes pas vous-même, demandez à un collaborateur bilingue ou parlant couramment la langue de la maison-mère de relire vos échanges avant envoi.

Enfin, si votre niveau d’anglais ou celui de vos collaborateurs ne vous semble pas au niveau pour une communication léchée avec la maison-mère, n’hésitez pas à passer par une agence de traduction à Montréal ou ailleurs, qui pourra réécrire vos textes en français pour qu’ils soient lus naturellement en anglais.